Vous aussi, vous souhaitez participer et nous parler de votre passion du planeur ?
Compléter le formulaire ci-contre et joignez-nous une ou deux photos de vous, dans votre planeur. Vous serez peut être sélectionné(e) parmi les différents portraits qui nous seront adressés et vous figurerez sur le nouveau site de la Fédération Française de Vol en Planeur.
Emmanuel P, 37 ans
“Un grand moment d’évasion avec une dose de réalisme, de folie et d’audace !”
Emmanuel, le planeur depuis 2017, dans son club.
Il a connu le vol en planeur par curiosité parce que pour lui c’est une discipline aéronautique respectueuse de l’environnement et que c’est dans la continuité de son travail d’architecte paysagiste.
Le planeur permet à Emmanuel de “Voler, la tête entre la terre et le ciel, entre le réel et l’imaginaire”
Un joli programme pour s’évader !
Franck S, 42 ans
“Planer, c’est un rêve de gosse, comme Icare mais sans se brûler les ailes”
Franck, enseignant de 42 ans pratique le planeur depuis 2016, au Centre de planeur de Troyes. Il y a 3 ans, mon épouse m’offre un baptême de planeur. J’étais sceptique : à Troyes comment rester en l’air ?
Mais le vol fut tellement magique, qu’une fois posé, je fonce rencontrer le président du club pour m’inscrire.
Aujourd’hui, je vole sur Astir et chaque fois que j’atterris, il me faut un temps pour reprendre mes esprits. Et oui, le planeur est posé, mais moi je suis encore au dessus des nuages. Dans mon planeur, je suis en communion avec les éléments, je suis libre comme l’air.
A côté de ma passion, je travaille comme enseignant. J’ai passé le CAEA (Certificat d’Aptitude à l’Enseignement de l’Aéronautique) afin d’ouvrir une section BIA dans mon lycée ! Depuis 3 ans, je mêle ma passion et ma profession !
Un grand merci à ma femme, pour m’avoir fait découvrir le monde merveilleux du planeur !
Alexandre G, 22 ans
“This sport thrives on thermo-nuclear power ! #Balleka”
Alexandre pratique le planeur depuis qu’il a effectué un vol Découverte en 2011, à côté de Chérence. Après avoir passé son BIA et souhaitant devenir pilote de ligne, le planeur était la meilleure formation pour le pilotage. Grâce aux bourses, Alexandre a pu faire du planeur, sa passion !
Pour Alexandre, le planeur “c’est formidable. C’est une grande aventure humaine où l’on ne s’ennuie jamais.
De mes premiers thermiques avec les buses en plaine à Chérence, à des pompes atomiques avec les vautours derrière la frontière espagnole sur les Pyrénées, je ne peux plus m’en passer !!
Le plaisir de voler en harmonie avec les éléments, d’avoir le soleil comme énergie et de voir les paysages grandioses, c’est formidable !”
Françoise S, 66 ans
“Voler, ça vous prend au cœur et ça ne vous lâche plus !”
Françoise pratique le planeur depuis 2016, en compagnie de son mari à l’aérodrome d’Abbeville Baie de Somme.
Ancienne orthophoniste à la retraite, elle souhaite réaliser un de ses rêves, voler comme un oiseau.
Un jour, “ma décision est prise !
Je saute le pas, je passe le cap, j’assume mes choix, je vis mes rêves !
Il a fallu attendre mes 65 printemps pour réaliser un de mes rêves les plus fous ! Avec mon mari, nous allons passer le brevet de pilote de planeur et le BIA !
Voler sans bruit comme un oiseau, Wahouuuuuu !
Alors entre mer et campagne, niché dans la verdure de Picardie, c’est la première rencontre, le coup de foudre, entier, intense, incontrôlable ! Voler, ça vous prend au cœur et ça ne vous lâche plus !”
Sophie L, 41 ans
Sophie pratique le planeur depuis 2014, seule ou accompagnée, dans son club du Grand Nancy mais également à l’Aéroclub International Sisteron.
Elle découvre le planeur tardivement “Ma rencontre avec le planeur et la naissance de ma passion pour cette activité est en fait l’histoire de préjugés qui tombent petit à petit : je vais être malade, je ne vais pas avoir les finances, je suis trop vieille pour apprendre, je ne vais pas réussir à devenir pilote, cela va être difficile d’allier planeur et vie de maman. Ces préjugés sont tombés grâce à différents pilotes, qui sans vouloir me convaincre ont réussi à me faire apprécier leur passion. Et depuis j’ai attrapé le virus du planeur !”
“Le planeur ? c’est le silence et la paix du premier vol solo, la satisfaction d’être brevetée, le délice de gérer ses premiers vols montagne seule, la fierté de tourner son premier circuit et faire ses premiers 100 km, la liberté de voler sur la campagne, l’allégresse de faire ses premiers 300 km, le bonheur infini de contempler depuis les airs de superbes paysages de montagne, le plaisir de composer avec les masses d’air pour aller plus loin.”
Tom H, 18 ans
“Ce qui caractérise le mieux le planeur ? Pour moi c’est l’esprit d’équipe et l’entraide qui règnent entre les vélivoles ! ”
Tom pratique le planeur depuis 2015, en famille à Gap et Haguenau. Le planeur pour lui c’est une passion.
“Petit ma mère m’emmenait sur le terrain de Gap, où elle travaillait. J’y voyais des grands oiseaux blancs aux ailes immenses qui attendaient en bord de piste.”
Après s’être demandé comment volaient ces machines sans moteur, et pourquoi les pilotes avaient des étoiles pleins les yeux, Tom a décidé d’essayer !
“Dès que je me suis mis à spiraler en silence, tel un oiseau, j’ai compris d’où provenait ces étoiles dans les yeux des pilotes. Depuis ce jour, moi aussi, j’ai des étoiles dans les yeux et je suis devenu vélivole
Mélanie T, 28 ans
“Depuis toute petite j’étais fascinée par le planeur. Les voir planer et spiraler en silence me faisait rêver. Le planeur, c’est une bouffée d’oxygène et de bonheur à l’état pur !”
Mélanie pratique le planeur depuis 2008, en compagnie de son concubin, pilote d’avion.
“Le vol en planeur m’a fait grandir, c’est une formidable école de vie, qui nous accompagne à chaque instant. On intègre une grande famille, unie et accueillante. Nous pouvons évoluer en silence, dans les airs, se sentir aussi libre qu’un oiseau et oublier le monde d’en bas quelques instants.”
Maxime F, 20 ans
“De toute ma vie, je ne me suis jamais levé aussi tôt que pour un vol en planeur…(véridique)! ”
Maxime pratique le planeur depuis 2011, seul, enfin avec ses amis du club de Dijon Planeurs
Il découvre le planeur grâce à un collègue de son papa qui vole au Centre de planeur de Troyes Aube – CPTA et qui l’amène faire un tour de planeur dans son K13. Au final, Maxime décide de s’inscrire au club parce que “ça coûte pas cher en fait !” L’année suivante, Maxime fait son 1er vol solo !
La journée type de Maxime ?
“Arrivé pour le briefing, avec mes copains on sort les planeurs tous ensemble et on commence à préparer nos vols. Puis vient l’heure du déjeuner avant la mise en piste. Enfin le moment tant attendu, le décollage. C’est parti, première ascendance ! Etre porté dans une pompe c’est vraiment une sensation incroyable!
4h, 5h, 6h on ne voit ni le temps, ni les kilomètres passer ! Dernière pompe, plané final, magnifique coucher de soleil et atterrissage en douceur.
Pour finir la journée en beauté dans mon club, on a bien mérité une petite bière avec les copains !”